A PROPOS
DE MOI
Qui ?
Salut !
moi c'est tim.
Timothé. Pour être tout à fait raccord avec ma fiche d’État civil.
J’ai 38 ans. Âge que certains considèreront comme le début de la fin de la jeunesse, d’autres comme étant la veille d’une crise programmée certaine.
Je suis loin d’être le mec le plus branché d’Instagram. Je suis même loin d’être le mec le plus branché tout court.
Le vrai Tim ressemble plutôt à ça :
- Celui qui boit beaucoup trop de café.
- Celui qui tente d’arrêter le café.
- Celui qui n’arrive pas à arrêter le café.
- Celui qui aime les jeux de sociétés avec les copains.
- Celui qui n’aime pas les réseaux sociaux.
- Celui qui est trop vieux pour comprendre les réseaux sociaux.
- Celui qui n’a pas le choix d’aimer et comprendre les réseaux sociaux.
- Celui qui promène son fidèle compagnon Joé, 2h par jour.
- Celui qui passe plus de temps à cuisiner pour son chien que pour lui-même.
- Celui qui a la flemme de se tailler la barbe.
- Celui qui est chauve, et qui le cache.
- Celui qui aime assez bien la bière.
- Celui qui n’a pas acheté de vêtement neuf depuis 5 ans. Au moins.
- Celui qui chante faux. Et c’est peu de le dire.
- Celui qui a la tête dans les nuages.
Je suis fraîchement passé photographe professionnel. Avant ça, mon boulot n’avait rien de folichon. Gérer un centre d’une grande Entreprise française, où l’on a tous à y gagner. Mais ce n’est clairement pas le sujet.
D’autant que je me souviennes, mes premiers souvenirs photographiques remontent à mes 15 ans, avec la prise en main d’un reflex argentique Minolta X-500.
J’ai donc appris à développer mes « pelloches » noir et blanc au fond de la cave de mes parents, avant même de triturer mon premier appareil photo numérique.
J’ai commencé à bidouiller la photo numérique avec les photos des concerts des copains musiciens. Pas le plus simple, mais extrêmement formateur. D’ailleurs petit coucou à la feu association LIVE! de Colmar qui a été la première à me faire confiance dès ses débuts pour la couverture de toute sa programmation au Grillen et ailleurs.
En parallèle, correspondant pour la presse locale, je fais mes armes au reportage terrain pendant quelques années, avant de m’aiguiller vers un univers plus personnel et décalé. « Burlesque » est le mot qui définira le mieux mon style. Mais le « traditionnel » réussira à me prendre la main de temps en temps. Mariages, portraits et couverture d’évènements professionnels.
Aujourd’hui, à l’aube de la quarantaine, je mets mes années d’explorations photographiques au service des particuliers et des professionnels qui en ont besoin. Ou simplement envie.
D’une nature mi-fougue mi-raison, j’aime naviguer entre simplicité naturelle, et mélange fantaisiste où les univers se créent et s’entrechoquent.